La France s’offre l’Espagne

La voilà la première surprise de ce Mondial 2014. Et elle est énorme. La France sans Tony PARKER, ni Joakim NOAH ni Alexis AJINCA bat l'Espagne et tous ses champions et tout son public à Madrid!

Un match brillant, lancé par Boris DIAW, l'autre patron de cette équipe France décidément XXL; un match dominé au rebond et totalement maitrisé en défense. L'Espagne a déjoué, s'en prenant trop souvent aux arbitres, parfois même à son public pourtant si présent, si supporter trente huit minutes durant. Victorieuse 65-52, la France, déjà championne d'Europe en 2013 affrontera la Serbie en demi-finale

La voilà la première surprise de ce Mondial 2014. Et elle est énorme. La France sans Tony PARKER, ni Joakim NOAH ni Alexis AJINCA bat l’Espagne et tous ses champions et tout son public à Madrid!

Un match brillant, lancé par Boris DIAW, l’autre patron de cette équipe France décidément XXL; un match dominé au rebond et totalement maitrisé en défense. L’Espagne a déjoué, s’en prenant trop souvent aux arbitres, parfois même à son public pourtant si présent, si supporter trente huit minutes durant. Victorieuse 65-52, la France, déjà championne d’Europe en 2013 affrontera la Serbie en demi-finale

 

Et c’est l’autre “petite” surprise de ce mercredi à Madrid. La Serbie a contenu un Brésil jouant par à-coups jusqu’à 32-32. Puis elle l’a laissé sur place grâce à un excellent Milos TEODOSIC. Ajoutons malgré tout que le Brésil ne s’est pas comporté en équipe, ce mercredi! Son échauffement d’avant match laissait percer un dilettantisme sidérant, ses actions étaient trop souvent individualistes et la gestion de sa mi-temps fut pire encore car si Marcelinho HUERTAS était revenu s’échauffer, seul, cinq bonnes minutes avant la reprise, ses compères NENE et BARBOSA ne revinrent que pour entamer le troisième quart temps!

La veille, les résultats furent plus conformes aux attentes. Longtemps accrochée, la Lituanie plus complète repoussait une vaillante Turquie (73-61) tandis que Team USA usait tant et tant la Slovénie qu’elle craquait soudain aux alentours de la 23è minute, l’écart passant alors de -7 à -43! (119-76)

Ce jeudi, toujours à Barcelone, Team USA rencontrera la Lituanie. Le lendemain, à Madrid, la Serbie jouera la France. Mais dites-moi, qui peut encore douter aujourd’hui du succès final de l’équipe de Mike KRZYZEWSKI?