La vie de notre club

IL ÉTAIT UNE FOIS…
…FAYENBOIS BASKET CLUB

Si 1944 annonçait la fin toute proche d’un règne austère et belliqueux, on était loin de se douter qu’un autre grand règne paisible et pacifique allait voir le jour, celui de FAYENBOIS BASKET CLUB et 50ans plus tard, certains en parleraient encore, avec
bien sûr un mélange de joie et de nostalgie

En cette année-là, l’Europe entière allait commencer à panser ses plaies. La jeunesse d’alors était à la recherche de son épanouissement et de ses distractions. Ces dernières sont faut-il le préciser, très peu nombreuses et le choix est très limité.
Quelques jeunes se mirent en tête de jouer au « BASKET – BALL « . Qu’est ce que cela pouvait bien être ? Enfin, pourquoi pas ? Ils furent encouragés par leur instituteur de l’époque. Monsieur Jean LUCAS qui étant en plus professeur de gymnastique vit avec satisfaction des jeunes se diriger vers le sport, Un club de Basket-ball était né.

Il fallait un terrain, un minimum de matériel, un nom, une couleur et des responsables.
Le terrain !
Il fut relativement vite trouvé. C’est dans le cadre pittoresque de « FAYENBOIS », dans la cour d’une ancienne ferme qu’ allaient pouvoir se disputer les premiers entraînements et les premières rencontres de Basket-ball. Cet endroit était surnommé « Le plancher des vaches ».
Le matériel !
Quelques planches furent assemblées et fixées à deux bons gros piquets. Un forgeron cintra 2 gros fers ronds pour en faire 2 anneaux. De la ficelle fut fournie à un sympathisant qui en tressa des losanges adjacents pour constituer les premiers filets dans lesquels de gros ballons de cuir allaient y abandonner une partie de la boue récoltée au contact du terrain.
Le nom!
Aucun souci, compte tenu de l’endroit ou l’on allait évoluer. « FAYENBOIS BASKET-CLUB était parfaitement logique.
La couleur !
Pourquoi pas celle de l’Espérance et le vert fut adopté. En ce qui concerne la numérotation des maillots. il n’y eut guère de problèmes. L’instituteur savait facilement se procurer de la craie. En faisant le gros dos, un équipier vous y traçait allègrement un numéro. Il pouvait répéter la même opération, en chiffres plus petits, lorsque vous lui présentiez votre poitrine. (Mais non Madame. Fayenbois Basket Club ne possédait pas encore d’équipe féminine).
Les responsables !
Ce ne fut guère difficile non plus. L’instituteur prit la place de Président, et les autres fonctions furent réparties parmi les jeunes membres de l’équipe. Il fallut, même falsifier la date de naissance d’un des membres, car son trop jeune âge ne lui permettait pas d’occuper une fonction officielle. (N’allez surtout pas raconter cela à nos responsables fédéraux).

Des statuts furent établis et envoyés à la Fédération de Basket-ball, qui inscrivit « FAYENBOIS BASKET CLUB » sous le matricule n° 57. A croire que 56 autres en Belgique avaient eu, avant, la même idée.
Tout était prêt. On pouvait commencer la compétition.
Très vite, dans la commune de Jupille, on parla de « FAYENBOYS BASKET-CLUB », et quelques jeunes gens vinrent rejoindre leurs aînés. Il faut dire qu’à cette époque, il fallait 14 ans accomplis pour avoir accès à la pratique du basket-ball. Actuellement, sous cette catégorie « cadets » vous pouvez voir évoluer en compétition des minimes, pupilles, benjamins et poussins, aussi bien filles que garçons. Dès l’âge de 6 ans, la porte de la Fédération Royale Belge des Sociétés de Basket BalI leur
est ouverte.

FAYENBOIS BASKET-CLUB, ne devait guère s’attarder longtemps sur ce « plancher des vaches ». En effet, le vestiaire des Écoles officielles (dont le club constituait d’ailleurs une sous-section) entreprit de tailler le rocher situé derrière le local (de l’époque)
du Tennis de Fayenbois (actuellement les courts de tennis couverts).
Pourquoi tailler le rocher ? Tout simplement pour réaliser une aire horizontale permettant la constitution du terrain de basket. Terrain splendide, avec, d’un côté, la pente naturelle des restes du rocher, d’un deuxième côté, le bois de Fayenbois permettant de
bucoliques rêveries, du troisième, la courte mais dure montée donnant accès au dit « terrain » et du quatrième enfin, le panorama à perte de vue de Jupille et d’une bonne partie de la ville de Liège.
Entre ce féérique panorama et l’oeil de l’observateur, il y avait une immense prairie sous-plombant le terrain, et en parfaite déclivité. C’est vous dire que lorsque le ballon avait la malencontreuse idée de passer les limites du terrain, de ce côté, il fallait faire
appel à un « crossman » dévoué, pour le poursuivre et le récupérer avant qu’il n’atteigne le
« Fond de Houlleux ».
Tout le monde observait la scène avec bonhomie, attendant que le « courageux » tout haletant ramène ce précieux ballon. Vous me direz que l’on aurait pu continuer le match avec une autre balle, et bien non, car cette petite rondeur prétentieuse, qui avait dévalé la
colline était « le ballon du match », les autres avaient fait leur temps et étaient tellement déformés qu’ils ne servaient plus qu’à l’entraînement.
Et oui! A ce moment, on s’entraînait avec des ballon usagés, voire même déformés. Il ne fallait quand même pas user trop vite le « bon ballon ». Luxe suprême! Le terrain avait été doté de 2 vestiaires situés dans les caves du local du tennis et possédaient chacun une douche (eau froide évidemment). Cela nous différenciait des autres clubs de la région, où l’on vous donnait gracieusement un seau d’eau pour quatre, de manière à vous permettre de faire disparaître le plus gros de la boue accumulée sur les parties visibles de votre anatomie. Quand on vous dira aussi qu’au time de chaque match, une tasse de café chaud était offerte, non seulement à chaque joueur du club, mais aussi à chacun des adversaires et même, « noblesse oblige » aux arbitres et aux officiels, vous conviendrez sûrement que F.B.C était considéré comme une formation accueillante. Du café chaud, vous voulez rire !
Comment une boisson chaude aurait-elle pu parvenir à pareil endroit, à tel moment ? Ce n’était pourtant pas bien compliqué : une fervente supportrice se tapait le chemin, de son domicile au terrain, nantie de deux lourds paniers remplis de thermos et de tasses. Lorsque, chemin faisant, elle était rattrapée par l’un ou l’autre joueur, celui-ci se faisait un devoir en guise d’entraînement avant le match, de la soulager de son lourd fardeau.

Cette grande Dame ne tarda guère à porter le surnom, combien mérité, de « Maman deFayenbois », Les joueurs s’assimilèrent assez rapidement à la pratique du basket-ball et très vite, le club fit parler de lui en se hissant vers le sommet du basket liégeois, FAYENBOIS BASKET-CLUB, devait même dépasser les limites du basket Liégeois.
Nous possédions un terrain muni de vestiaires avec douche, de bons joueurs, un comité, un bon ballon et pas mal d’usagés, quelques courageux supporters, et une « maman »; était-ce assez pour nous permettre de rêver ? Sûrement pas ! Il fallut alors penser aux moyens de subsistance; même à cette époque, tout relativité gardée, la question « argent » se posait. L’aide apportée par le Vestiaire des Ecoles Officielles, de l’Administration Communale de JUPILLE et de la Société des fêtes locales « Li Bouquet », bien que très efficace, n’était guère suffisante,
C’est ainsi que les membres du Club se sentirent naître une âme d’organisateur de spectacle. Des bals furent organisés au local du tennis, lequel était propriété du Vestiaire des Ecoles Officielles, ce qui permettait à FAYENBOIS BASKET CLUB de jouir de l’immunité de toute taxe communale, La SABAM, on feignit l’ignorer, mais elle se rappela à notre bon souvenir, et il fallut quand même la payer.
On organisa aussi de nombreux tournois. Nous en retiendrons un qui devait faire date dans les annales du club. Les « Producteurs » s’étaient tout simplement mis en tête d’organiser un Tournoi international de Basket-Ball.
Et c’est ainsi que le vent dominant cette plaine de Fayenbois eut l’occasion de tendre des drapeaux, français, luxembourgeois, belges et même liégeois, (Il fallait bien remplir les quatre coins du terrain). Ce fut une formidable organisation : joueurs, membres
du comité et sympathisants se dévouèrent pour loger, nourrir ou tout simplement accueillir leurs homologues étrangers. Ce fut un réel succès, et l’opération se renouvela d’ailleurs l’année suivante.
Les Français nous rendirent « la monnaie de notre pièce » : pas mal d’anciens se souviendront sûrement des déplacements mémorables à NILEVANGE et à STRASBOURG.
Une organisation que l’on ne peut passer sous silence est certes celle des « FANCY-FAIR », réalisées à l’école de la place Ferrer (on en reparlera d’ailleurs de cette place Ferrer).
Pourquoi place Ferrer ? Alors que nous disposions d’un magnifique terrain à FAYENBOIS ! Le but était simple, montrer aux gens du quartier, dont la plupart des joueurs étaient issus, ce qu’était vraiment le « Basket », et aussi, bien sûr nous permettre de boucler
un budget qui devenait de plus en plus important. On vit ainsi se dessiner un terrain de basket-ball sur la cour avant de l’école, un terrain comme on n’en avait jamais vu, et comme bien sûr, on ne devait plus en voir par la suite. La moitié de ce terrain était pavée, l’autre en terre battue : la ligne médiane était facile à repérer puisque constituée par la rigole drainant les eaux de ce qui fut, pour la plupart, la première cour de récréation.
Le réel succès de ces « FANCY-FAIR », porta les dirigeants du club à renouveler l’opération à plusieurs reprises.

Une idée audacieuse, peut-être même un peu folle, jaillit dans la tête des dirigeants. Le terrain de FAYENBOIS fut pendant un moment traversé par une voie ferrée sur laquelle circulait un wagonnet que, joueurs et comitards s’efforçaient de remplir avec les
particules de schiste arrachées au flanc du rocher, à l’aide de pioches.
Pourquoi une nouvelle fois en voulait-on à ce paisible rocher ?
Tout simplement, parce que l’on voyait déjà cet emplacement transformé en gradins. La lâche était vraiment pénible, et le membre du comité (mineur de métier), qui nous avait procuré rails et wagons, estimant que les travaux n’avançaient pas assez vite à son gré, entreprit de fournir des bâtons de dynamite. Mais le roc résista quand même, à croire que notre technique n’était guère évoluée.
Bref, devant ce semi-échec, le projet fut abandonné. Ne croyez pas que le découragement fut la cause de l’abandon de l’outil. On en avait surmonté d’autres. Mais, petit à petit, naquit l’idée de transférer définitivement les activités du club à la place Ferrer.
Bien que, comme nous vous l’avons dit précédemment, les installations de FAYENBOIS étaient magnifiques, et que ce pittoresque cadre était de nature à attirer pas mal de sympathisants, l’accès n’y était pas tellement aisé.
Le club vieillissait, et pour cause! Auriez-vous Madame, envoyé votre petit garçon sur cette hauteur de JUPILLE, au risque de le voir redescendre, et un peu plus tard dans la pénombre, après un entraînement, le champ d’équarrissage (devenu maintenant
l’avenue Henri Warnant) ou la ruelle du Diable (propice peut-être à quelques effusions amoureuses, mais certes pas à la sécurité de trop jeunes citoyens). C’était décidé, l’Administration Communale de JUPILLE, le Vestiaire des Ecoles Officielles et les dirigeants du club étaient unanimes pour transférer FAYENBOIS Basket-Club à l’école de la place Ferrer. Un terrain fût érigé sur ce que l’on avait coutume d’appeler la cour de l’école gardienne.
Terrain splendide! Entouré d’arbres, quelque peu en déclivité, mais néanmoins pavé (ce qui améliorait quand même les conditions de jeu connues depuis la naissance du club); il fut le terrain de la progression constante du club.
Le local lui aussi fut transféré et trouva refuge dans un café bien sympathique du quartier. Les tenanciers, d’ailleurs parents d’un joueur, et par la suite grands-parents de plusieurs joueurs, nous accueillirent à bras ouverts. Ils aménagèrent un vestiaire dans un
petit local situé derrière le café, à l’endroit surnommé jadis « le chant du coq », et faute de coqs à plumes, cette aire peu spacieuse, mais combien chaleureuse, vit s’ébrouer dans quelques seaux d’eau (chaude cette fois-ci) des coqs à p…
Un club de soutien fut créé, et dans le local du club on vit s’organiser des concours de tir et de bowling, qui devaient nous permettre de subsister et même d’aller de l’avant.
Bon nombre d’anciens ont encore certainement à l’esprit ces mémorables concours de bowling où tout le monde (ou presque) y mettait du sien.
Certains ont même passé des nuits entières à relever les quilles; chose bien décourageante s’il en est, puisque ces bouts de bois à peine debout, il se trouvait quelqu’un à l’autre bout du billard qui, un gros boulet à la main, s’efforçait d’en renverser le plus possible.
Quel drôle de jeu !

Petit à petit, nos installations se modernisèrent. Un refuge pour marqueurs et chronométreurs fut érigé sur le bord du terrain. L’éclairage fut placé avec l’aide d’un membre acrobate qui alla fixer le câble soutenant les phares à la cime de deux gros poteaux de bois fournis par la Régie des Téléphones.
La Protection Civile, jugeant que les abris qu’elle possédait dans les caves de l’école étaient devenus trop vétustes et inefficaces en cas de conflit atomique, nous permit d’y installer des vestiaires. On déblaya, frotta et on y plaça des douches (chaudes et froides).
On ne s’arrêta pas là : l’ancien préau à l’entrée du terrain fut transformé en une sympathique buvette, où chacun pouvait, avant, pendant et même très souvent après les matches, y déguster une boisson fraîche, ou autre suivant ses goûts.
Pendant ce temps, FAYENBOIS BASKET CLUB poursuivait son petit bonhomme de chemin. Les jeunes arrivaient en masse et, pris en mains par un ancien joueur dévoué, ne tardèrent guère à faire honneur aux couleurs qu’ils défendaient. Lorsque la F.R.B.S.B. autorisa l’intégration de joueurs de nationalité étrangère, FAYENBOIS BASKET CLUB se paya le luxe d’aligner un joueur américain.
On tira vraiment le bon numéro ; en effet, tout le monde a encore en mémoire les prestigieuses prestations de ce talentueux et combien sympathique joueur. C’est avec l’aide d’ailleurs de ce « Monsieur Charly FUNCK« , que le club atteint son plus haut niveau. La F.R.B.S.B. ayant décidé que tous les matches de ce niveau-là devaient se dérouler en salle, nous fûmes obligés de nous faire héberger dans l’unique salle existant à JUPILLE à cette époque. Cette salle de la place des Combattants, nous la partagions avec le club de l’Avenir de JUPILLE, et chaque match y joué voyait bon nombre de dirigeants se transformer en déménageurs.
Mais à ce moment-là, sur l’une des hauteurs de JUPILLE, s’ouvrait un immense chantier, duquel allait surgir la magnifique salle omnisport de l’Athénée Royal Yvon CORNET. C’est là, dans ce splendide complexe, nanti d’une luxueuse cafétéria et d’installations sanitaires des plus modernes, bien éclairées et bien chauffées, que vous avez le plaisir de voir évoluer ce club qui s’appelle maintenant ATHENEE JUPILLE FAYENBOIS BASKET-CLUB, tout en ayant conservé son ancien matricule fédéral.
Dans l’évolution du club, les dames ne furent point oubliées. Les jeunes filles venaient de plus en plus nombreuses assister aux matches, voire même aux entraînements. Est-ce qu’elles s’intéressaient vraiment au Basket-ball ou venaient-elles tout simplement
admirer la musculature naissante de nos jeunes joueurs ? Allez savoir ! Pour percer cette énigme, un dirigeant, ancien joueur, leur posa froidement la question : Seriez-vous, Mesdemoiselles, intéressées par la pratique du Basket-ball ? La réponse fusa comme un boulet de canon : « Oui, Oui, Oui ». Il les invita alors à se trouver sur le terrain la semaine suivante, aux fins de se rendre compte s’il y avait une chance de pouvoir un jour en retirer quelque chose de valable.
Quelle ne fut pas l’émotion de notre homme lorsqu’il vil le nombre impressionnant de jeunes demoiselles ayant décidé de tenter leur chance.

Il dut à ce moment se dire « Qu’ai-je fait ? », mais il était déjà trop tard pour faire marche arrière et n’eut pas le courage de décevoir ce beau petit monde. Au point de vue Basket-ball, évidemment !
Aidé par un jeune garçon du club, il leur inculqua les premières notions de basket. L’année suivante, des équipes d’âge féminines faisaient leur apparition en championnat. Ces jeunes filles grandissant (en beauté comme il se doit), elles purent très vite évoluer en équipe « Dames » du Championnat Provincial Liégeois, car leur hargne, leur volonté de vaincre et par la suite leur adresse, les hissèrent rapidement parmi l’élite du Basket féminin Liégeois.
Les circonstances furent telles qu’il fallut un jour se résigner à ne plus inscrire d’équipe « Dames » en championnat. N’en jetons la pierre à personne, nous dirons que c’est tout simplement dommage. Mais il est évident que l’idée née à cette époque n’est point
abandonnée.
En effet, nous constatons avec plaisir que des équipes d’âge « FILLES »‘ se sont reconstituées et qu’elles progressent à grands pas. Mesdemoiselles, le club compte sur vous !
Si les dames ne furent point oubliées, les jeunes garçons issus du club, et dont l’âge les amenait à devoir évoluer en équipe première, ne furent pas non plus négligés. Leurs possibilités, soit en technique, soit en taille, ne leur permettaient pas de rivaliser avec les »Ténors » qui allaient devoir défendre les couleurs du club dans les hautes sphères du Basket national.
C’est pour cette raison, que l’on assista à la création de « l’Amicale Athénée de JUPILLE ».
Cette formation, constituée par un vrai crû du club, ne devait guère stationner longtemps en 4ème Provinciale où, par la force des choses, on avait dû l’inscrire. Ayant rapidement gravi les échelons, elle se retrouva bientôt en 1ère Provinciale où elle s’illustra
pendant 2 saisons.
Leur enthousiasme et leur dévouement faisait plaisir à voir, témoin ce mensuel « SMASH » qu’ils publièrent et vendirent en de nombreux exemplaires pendant 3 années consécutives. Malheureusement pour ces « jeunes » les années passent comme pour tout le monde.
Le poids des ans et les circonstances de la vie matérielle de chacun en particulier les obligèrent à avoir des ambitions plus modestes. C’est ainsi que vous les voyez actuellement en 4ème Provinciale où ils se défendent avec honneur.
Mais, de toutes façons, félicitations, Messieurs ! Et, au nom de certains anciens, malgré tous les « stress » que vous leur avez fait subir, merci pour les bons moments que vous leur avez fait revivre.
Attendons la relève qui se profile à l’horizon et qui ne saurait guère tarder à rendre du sang nouveau à cette sympathique équipe.
On ne vit point avec le passé, il faut vivre avec le présent, et surtout voir le futur, c’est bien connu !

Revue publiée pour le cinquantenaire du club (1994)