Si on a eu la possibilité de découvrir les capacités tant technique qu’au scoring d’Amélie Brohet, en R2 cette saison, elle faisait, en fait, déjà partie du groupe D1 des Ladies Charleroi l’an dernier. «C’est surtout la première saison où j’ai du temps de jeu. Il y avait une appréhension mais je savais où je mettais les pieds», déclare la jeune meneuse, qui n’a pas ressenti de pression en débarquant au sein d’une équipe R2 qui était amenée à faire aussi bien que la précédente (finale des play-off)… Lire l’article
Photo : ÉdA – Christophe Béka
Source : Frédéric Peretto, L’Avenir